Aujourd’hui, Adeline a repris son rôle de maîtresse.
Dès qu’elle m’a regardée, j’ai compris.
Je n’aurais rien à dire. Rien à négocier.
J’allais obéir. Me soumettre. C’est exactement ce que j’aime avec elle. Parce qu’avec elle, je suis en confiance.
Elle m’a fait monter sur le lit.
À quatre pattes.
A commencé par me fesser jusqu’à ce que ma peau chauffe.
Puis, elle a sorti son énorme gode-ceinture. Un que je connais bien. Celui qui me fait mal… et jouir.
À ce moment-là, une seule certitude :
Mon cul lui appartenait.
Mais avec elle, comment résister ? Je le lui donne. Je lui offre.
Sans aucune douceur, elle m’a pénétrée.
Elle savait exactement ce qu’elle faisait.
Elle l’a enfoncé lentement, profondément… avant de m’enculer comme une vraie salope.
Mes gémissements l’excitaient encore plus.
Elle est allée plus fort. Plus vite.
Puis elle m’a retournée sur le dos, pour mieux voir son jouet disparaître dans mon cul.
Je ne contrôlais plus rien.
Je tremblais. Je criais.
Et elle, elle baisait… en jouissant de ma faiblesse, en mettant son autre jouet vibrant sur mon clito.
J’ai du mal à squirt avec un truc dans mon cul, mais j’ai bien joui !
Une fois mon anus bien dilaté, ouvert, offert… elle s’est arrêtée.
Elle s’est retirée. Me laissant vidée, exposée.
Mais ce n’était pas fini.
Elle s’est allongée sur le lit.
Les jambes écartées.
« Maintenant, tu vas bien me lécher. »
Pas une demande. Un ordre.
Je me suis placée entre ses cuisses.
Et j’ai commencé à lécher. À déguster sa chatte avec ma langue, comme elle aime.
Lentement au début. Puis plus vite. Plus profond.
Elle me tenait, me guidait.
Je l’ai léchée, encore… encore… jusqu’à ce qu’elle jouisse contre ma bouche.
Un cri. Un orgasme brutal. Sans retenue.
Quand elle a rouvert les yeux, elle m’a fixée.
Un sourire cruel aux lèvres.
« Bonne chienne. »
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